Qui sommes-nous ?


La compagnie du Si
Les spectacles de la Compagnie du SI visent à explorer l'humain dans ce qu'il a de meilleur et de pire, à s'interroger sur le monde et à rendre compte de sa démesure.
Au-delà d’une esthétique théâtrale sujette aux modes, nous souhaitons conserver le sens des textes comme élément premier du travail et mêler les différentes formes artistiques (de la poésie sensible d'un « Ogrelet » aux interrogations existentielles de « La Terrasse de Malenciel »), pour les mettre au service du propos défendu.
L'univers musical est au cœur du dispositif de création, comme matière concrète de jeu et projection de l'imaginaire …
Maintenir un lien fort entre les créations, la formation et l'ouverture à tous les publics est un axe majeur de la compagnie.
Notre travail reste porteur des éléments de jeu qui caractérisent l'acte théâtral : nos différentes productions et nos actions artistiques n'hésitent pas à jouer avec les codes, les genres, les publics…
Par delà « Le diable, c'est l'ennui » (Peter Brook), nous souhaitons toujours faire partager le plaisir lié à la représentation...


Stéphanie Moussu Après une trop courte formation au Conservatoire National de Région à Bordeaux, Stéphanie Moussu fréquente assidûment la Compagnie Apsaras et travaille le théâtre gestuel et le masque aux côtés de Henri Bonnithon et Agnès Coisnay. Cofondatrice de la Compagnie DU BOUT DES LEVRES, elle privilégie le livre et le texte « pur premium » dans des projets en partenariat avec des bibliothèques.
Avide d’enrichir sa pratique théâtrale, elle sollicite des stages de comédien auprès de Yoshi Oïda, au Théâtre du Soleil et d’assistante de mise en scène dans la compagnie Le Boustrophédon.
Stéphanie Moussu rejoint l'équipe de la Compagnie du Si en 2010 et propose Les Fondamentaux comme contribution artistique à la vie de l’association.




Dominique Jobard Professeur de philosophie en lycée depuis plus de vingt ans, Elle est investie dans plusieurs associations, de débats philosophiques et politiques, et d'action culturelle, particulièrement en milieu rural. Ces associations ont en commun de développer l'éducation populaire, dans le souci de faire se rencontrer des publics hétérogènes et de rendre possibles des confrontations dépassant les cloisonnements intellectuels, artistiques, culturels et sociaux.






 

Jean-Claude Gillet fit ses apprentissages d’abord sur le terrain de l’action syndicale et politique, avant de devenir formateur d’animateurs professionnels et enfin professeur (aujourd’hui honoraire) des universités. Écrivant depuis vingt ans maintenant soit dans le champ des sciences de l’éducation, soit dans le secteur de l’histoire du mouvement social et politique, il est toujours militant de l’éducation populaire, avec comme moteur la nécessaire utopie de l’avenir.




Jean-Paul Raffinot a enseigné le français, la littérature, l’expression théâtrale et la communication en Collèges, Lycées, IUT, École normale, Community Colleges. Il a vécu 13 ans aux États-Unis et six ans à Tahiti. Il a été présentateur d'une émission musicale à la télévision,  il a participé activement à l'animation d’un Café Philosophique, à l'Alliance Française de San Francisco. Il a publié plusieurs ouvrages pédagogiques. Il se consacre actuellement à l'écriture de fiction et à la gestion d'une association culturelle à Bordeaux : Assonance.